C’est devant les journalistes de la presse locale que Philippe FOLLIOT a annoncé sa candidature aux élections législatives dans la future 1ère circonscription du Tarn. A la suite d’un redécoupage absurde, cette dernière regroupe désormais une moitié de Castres, une moitié d’Albi, la Montagne et le Réalmontais.
C’est à Albi, à l’auberge du Pont Vieux, que le député a déclaré qu’il voulait continuer à se mettre au service des Tarnais ; à proximité d’un pont, symbole de la concorde et du lien entre deux rives qui ont trop longtemps séparé le nord et le sud du département. Non loin de la clinique Escudié d’Albi où il est né, Philippe FOLLIOT a rappelé combien cette circonscription lui était familière : originaire et élu de la Montagne, il est aujourd’hui domicilié à Castres.
Député actif à l’Assemblée nationale (classé 33ème sur 577), son engagement dans cette campagne est en cohérence avec sa conception de la politique. Une voie qu’il a également trouvée à l’échelle nationale aux côtés du candidat centriste à l’élection présidentielle, François Bayrou.
« Les années à venir seront particulièrement difficiles pour notre pays, nous devons être exigeants et ne pas faire des promesses que nous savons ne pas pouvoir tenir. Pour autant je reste optimiste pour l’avenir de la France qui saura se relever de cette crise ».
Philippe FOLLIOT se présente sous les couleurs de l’union des centristes tarnais, une initiative locale qui devrait inspirer un grand rassemblement des centres au niveau national. Cette union est la seule voie pour faire émerger une force centriste à l’Assemblée nationale et récuser la posture des députés « godillots » dans laquelle sont aujourd’hui enfermés les parlementaires de la majorité comme de l’opposition. L’union des centristes tarnais présente donc un candidat dans chacune des trois circonscriptions que compte le Tarn.