Édito de la lettre d’information n°116 du 8 juin 2012
Avec Gisèle DEDIEU et toute l’équipe nous nous sommes beaucoup impliqués dans cette campagne législative : près d’une centaine de réunions publiques, un bilan de mandat, une lettre de candidature, un journal de campagne, un affichage ciblé, et surtout une présence quotidienne sur le terrain, ont marqué ces dernières semaines. Comme j’ai coutume de le dire : le moment important sera samedi soir, quand en me regardant dans la glace avant de me coucher, je pourrai répondre par l’affirmative à la question suivante : « as-tu fait de ton mieux, tant durant le mandat que pendant cette campagne ? »
Certes, il y a toujours un certain nombre d’erreurs et de manquements, nul n’est parfait. Mais depuis 2007 je peux me féliciter d’avoir tenu mes engagements et de présenter aux Tarnais un bilan solide et sur une réelle présence le terrain, que nul ne conteste. Pour autant, cette campagne a été dure et j’ai été la cible de tirs nourris et croisés des candidats PS, UMP et FN avec des attaques aussi insidieuses que perfides. Parce que j’ai une certaine idée du débat politique, même si cela a été dur à certains moments, je n’ai jamais voulu répondre et entrer dans le jeu stérile des polémiques sans intérêt.
Vous connaissez mon attachement à ce département où j’ai toujours travaillé et vécu, vous connaissez aussi mon parcours professionnel et politique marqué par l’idée de servir. Avec votre aide et votre soutien, je poursuivrai cet engagement pour notre pays, pour notre territoire. L’essentiel se jouera ce dimanche, chaque voix comptera, même si les échos de terrain et les retours de campagne sont bons, voire très bons. Rien, absolument rien n’est joué entre un candidat qui se contente de surfer sur une vague en espérant une triangulaire salvatrice pour lui et un autre qui multiplie coups et annonces pour tenter de faire oublier des années d’éloignement de notre département. Avec Gisèle DEDIEU, nous avons mené une campagne respectueuse, sans coups bas, sans attaques, sans polémiques qui desservent tant l’image de la politique. La cause publique exige de la rigueur, de la morale pour qu’au-delà des divergences d’opinion on respecte l’ensemble des candidats et des suffrages qui leur seront portés.
Mon investiture c’est votre soutien, et je ne doute pas qu’avec Gisèle DEDIEU vous saurez reconnaître en notre candidature un tandem dynamique et efficace pour avoir UN DEPUTE POUR TOUS, PROCHE DE VOUS.
Amitiés,
Philippe FOLLIOT