Philippe FOLLIOT a tenu jeudi 7 juin sa dernière réunion publique à Albi, avant le premier tour des élections législatives. Ce rendez-vous clôturait une série de près de cent réunions publiques à travers toute la circonscription, à la rencontre des Tarnaises et des Tarnais.
Plus de 180 personnes s’étaient réunies à Pratgraussals pour applaudir et soutenir le candidat centriste et sa suppléante, Gisèle DEDIEU. Philippe BONNECARRERE, Maire d’Albi, s’est exprimé en premier pour soutenir le député. Evoquant son bilan irréprochable, sa capacité de travail et son engagement sans faille, Philippe BONNECARRERE a appelé les Albigeois à voter pour un député capable d’être un relai efficace entre Paris et la circonscription.
La France est aujourd’hui à un tournant de son histoire, a rappelé Philippe FOLLIOT dans son discours, tant la situation économique et sociale du pays est grave. Notre pays a besoin d’hommes et de femmes courageux pour faire des choix qui ne seront pas partisans mais allant dans le sens de l’intérêt général. Philippe FOLLIOT a rappelé qu’il ne serait pas un député godillot ; libre, il prendra ses responsabilités sans sectarisme quand viendra l’heure de faire des choix. Pour cela, la France a besoin d’une force centrale, modérée et indépendante pour tenir ce cap. C’est le sens de l’engagement des centristes dans cette campagne législative, ce pour quoi il faut se mobiliser dès le premier tour.
Au terme de cette campagne difficile, rythmée par les attaques personnelles et les polémiques inutiles, Philippe FOLLIOT et Gisèle DEDIEU n’ont jamais cédé à cette facilité. Sans jamais tenir un propos déplacé ou irrespectueux, ils ont su tracer leur sillon auprès des Français. Concluant par un appel au vote utile, Philippe FOLLIOT a demandé à ce que les voix de tous ceux et celles convaincus par les valeurs du travail, du mérite, du respect et de l’humanisme se portent sur son nom dès dimanche.
