Editos

Jamais depuis les lâches et terribles attentats qui ont ensanglanté Paris et Saint-Denis en ce triste 13 novembre, l’hymne national n’a été autant chanté partout en France. Catharsis collective, le besoin de se retrouver ensemble contre la barbarie et la négation de toute humanité se manifeste autour du drapeau tricolore et des valeurs de la République. Dans de tels moments, pour moi, aucune position autre que l’unité nationale pour faire face au monstre Daech. Unité nationale pour montrer que le ferment des divisions, des amalgames, n’entraînera pas la société française dans de terribles convulsions aux conséquences dramatiques. Unité nationale pourPlus…

Va-t-on vraiment dans le mur ? Cette lancinante question peut légitimement hanter nos esprits tant la situation actuelle est complexe et insaisissable. Le mur de la dette, des déficits, du manque de compétitivité, du populisme, des lourdeurs administratives… on y est déjà, en plein dedans. « Le Graal des murs », c’est celui de la bêtise et on va droit dedans, droit devant ! La dernière accélération a eu lieu la semaine dernière avec ce calamiteux rapport de l’OMS qui nous indiquait que l’excès de consommation de viande serait cancérogène ; ce que certains médias ont résumé en indiquant que la viande etPlus…

Lettre d’information n°146 du vendredi 25 septembre  2015 Il a suffi d’une photo choc, celle du petit Aylan, échoué sur les plages turques, pour que certaines consciences se réveillent et qu’il y ait une nouvelle prise de conscience de l’épineux problème des migrations. Au-delà de la « dictature de l’émotion » et du prisme médiatique, qui nous fait réagir plutôt qu’agir, nous devons comprendre que les déplacements de populations sont un des enjeux majeurs du XXIème siècle et un facteur risque essentiel pour la paix et la stabilité dans le monde. Si la communauté internationale n’agit pas, ce sont des troubles importants,Plus…

Lettre d’information n°145 du vendredi 24 juillet  2015 Condescendance, rires narquois à l’Assemblée, quand les « bien-pensants » me moquent alors que j’explique que sur le marché aux veaux de Valence-d’Albigeois les transactions se font en francs, sans écrits, avec comme seul contrat non pas des avocats ou conseils juridiques, mais la parole donnée, un « tocas manetas » (poignée de main), les prix sont ensuite convertis en euros. Que n’auraient-ils rajouté si en plus je leur avais dit que souvent on y parle occitan, et qu’après on y boit un coup de rouge ou de jaune au bistrot « Le Bon Temps », qu’on yPlus…