| 22 OCT. 2019 |
Le jeudi 3 octobre 2019, Philippe FOLLIOT, dans le cadre de la délégation aux Outre-mer, a participé entre autres à l’audition de l’association Interco’Outre-mer, qui a pour objectif de fédérer les intercommunalités et structures à vocation intercommunale des territoires de la Guyane, Martinique, Guadeloupe, La Réunion et Mayotte autour d’enjeux communs.
Lors de ce moment d’échanges, Philippe FOLLIOT a souhaité aborder la problématique des espèces invasives, phénomène mondial qui touche l’Hexagone mais aussi et surtout les milieux insulaires et côtiers qui sont d’une plus grande fragilité. Il a ainsi rappelé les propos d’un scientifique qui s’était exprimé il y a quelques mois au Sénat au cours d’un colloque sur la biodiversité sur les effets néfastes de ces nuisibles dans les outre-mer. Celui-ci avait pris l’exemple d’un arbuste présent en Polynésie, le Miconia, qui avait engendré des problèmes majeurs plus particulièrement à Tahiti. Il avait alors souligné le besoin d’une action précoce et forte pour limiter ces effets néfastes pour la biodiversité.
Dans le cadre de cet échange au Sénat et des propos tenus par l’association Interco’Outre-mer, Philippe FOLLIOT est ainsi revenu sur la question de cette nouvelle algue présente dans les milieux insulaires afin de savoir à quel stade de développement elle se trouvait et notamment si nous étions en capacité de l’éradiquer ou de seulement traiter les causes.