Une question écrite est posée par un parlementaire à un ministre, elle permet de faire état d’une problématique rencontrée, et de relayer les interrogations des élus locaux. Les ministres sont tenus de répondre dans les deux mois à ces questions, qui peuvent alors se transformer en questions orales.
Les parlementaires disposent également de la possibilité de « rappeler » les questions posées, ce qui prend alors la forme suivante : « M. Philippe Folliot rappelle à M. le ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique les termes de sa question n° 01048 sous le titre « Enjeux du nouveau contrat de présence territoriale de la poste », qui n’a pas obtenu de réponse à ce jour.« . Ont ainsi été rappelées au mois de février les questions suivantes :
-Facilitation des démarches bancaires par la création d’un nouveau statut pour les maires ;
-Enjeux du nouveau contrat de présence territoriale de la poste ;
-Indemnisation des attaques de rapaces sur les troupeaux ;
-Situation préoccupante de manque de médecins dans nos territoires ;
-Crise dans la flotte aérienne de la sécurité civile.
Retrouvez le classement (réalisé par les services du Sénat) sur les ministères ayant les meilleurs taux de réponse aux questions écrites : ici.