Le sénateur Philippe Folliot a rappelé la nécessité de prendre en compte les spécificités territoriales, et notamment des territoires ruraux, dans le cadre du débat sur l’état d’urgence sanitaire.
Les petits commerces des territoires ruraux doivent pouvoir rester ouverts, pour leur survie et pour la survie des habitants de ces territoires. Il a fait appel à « lo biaïs » (le bon sens paysan) du Gouvernement pour adapter les mesures aux territoires, en lien avec les services déconcentrés de l’État et les élus locaux.
Le sénateur Philippe Folliot met avant « lo biaïs » (le bon sens paysan) durant le débat sur l’état d’urgence sanitaire