Philippe FOLLIOT, député de la 1ère circonscription a toujours défendu les principes et les valeurs qu’incarne la République. C’est dans ce leitmotiv qu’il estime être de son devoir de dénoncer des actes ou des comportements contraires à l’intérêt général et empreints de connotations trop partisanes. Alors qu’il avait combattu avec véhémence le caractère incohérent et partisan du redécoupage des circonscriptions, sous la précédente législature, contre sa propre majorité, il regrette que le Parti Socialiste qui, à l’époque, partageait son indignation, une fois au pouvoir utilise les mêmes méthodes. En effet le projet de redécoupage des cantons, annoncé en catimini durant la trêve des confiseurs (le 30 décembre dernier) est du même acabit, voire pire, et nul ne comprendrait au regard de ses combats passés, que face à un tel déni de transparence, à un caractère si illogique, choquant et militant de ce « charcutage » des cantons, il se taise ! C’est la raison pour laquelle il dénonce le manque de concertation autour de ce projet et critique le déséquilibre entre zones rurales et urbaines, citant l’exemple du canton de Lacaune «qui sera 85 plus grand que celui d’Albi 1. Où est l’équité ?» Il déplore que «l’exception montagne» ne s’applique pas au Tarn permettant une meilleure représentation des zones rurales avec la possibilité de créer des cantons moins peuplés. Philippe FOLLIOT multiplie les exemples «absurdes» citant, entre autres, le cas de Dénat et Labastide-Dénat «raccrochés au canton de Saint-Juéry alors que ces communes sont tournées vers Albi-sud et Puygouzon».
Vous trouverez ci-joint une première analyse sur ce nouveau schéma départemental.