Ce vendredi 28 octobre le sénateur Tarnais a introduit le colloque international organisé avec l’Institut d’études de géopolitique appliquée sur l’OTAN “Madrid 2022 : un sommet pivot pour l’OTAN ?”.
Ce colloque s’est donc ouvert par les réflexions du sénateur Folliot sur l’Alliance atlantique, des réflexions qui sont au coeur de son mandat parlementaire puisqu’il est au titre de la Délégation française membre de l’Assemblée parlementaire de l’OTAN (AP-OPAN), président de la Commission Économie et Sécurité (ESC).
Nécessité de l’OTAN, naïveté française sur la question industrielle, place de la France dans l’Alliance, questionnements sur les choix et la préférence de l’article 5 du Traité par les pays de l’Est européen vis-à-vis de l’article 42 paragraphe 7 du Traité sur l’Union européenne (TUE) qui prévoit également une clause de défense mutuelle… tous ces sujets ont donc été abordés en guise d’introduction pour cette journée d’étude consacrée au sommet de Madrid tenu dans ce moment particulier que constitue le retour à la guerre de haute intensité en Europe.
A ce sujet, Philippe Folliot était intervenu en Séance publique au sujet de l’adhésion de la Finlande et de la Suède :